Corps cueille
Par l’antre 001
Altéa (Espagne) le 10 juillet 2016,
Alain Gojosso
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Manteau par effroi d’une embrasure incessante
En peau où verte raison des sens en sens
Fièvre à pores d’une passion intangible
L’évidence perceptive d’une beauté à épouser
Corolles sur nef rose où à front d’échos bruissés
Sang de lier l’âme air qui en voix d’un filtrant
Calice à l’uni de l’azur la clameur de l’onde
Sertie en la pulsation battante d’un seul accord
Paupières à l’or qui amande l’ambre prétentieux
De ce sensible où traversière s’exacerbe
Céleste un firmament tutoyé à l’Icare des Lys
En lyre ronde d’ailes d’une poésie semant songes
Nonchalant mal sinon qu’en tête de l’orgue œil
Mirant organique dépendance à échanger
Un continuel à composer par flaveur
Parfums d’harmonie qui étoilent en voie nos vies.
Le 17 janvier 2017,
Alain Gojosso
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